La première édition de ce volume, qui parut d'abord en décembre
1851, avait en tête cet avertissement :
«Ce volume, que j'intitule Derniers Portraits, non parce que j'ai décidé de n'en plus faire, mais parce qu'il se compose des dernières études de ce genre auxquelles j'ai pris plaisir avant Février 1848, sert de complément aux six volumes de Portraits déjà publiés chez M. Didier. Il s'y rapporte par le ton et par les sujets : j'y touche aux Anciens, je m'arrête un instant au seizième siècle, je me complais au dix-septième, et nos contemporains ont aussi leur part. Si l'on rangeait un jour mes Portraits dans un ordre méthodique, ce volume fournirait son contingent à chacune des branches dans lesquelles je me suis essayé.»